Luis est arrivé en France à 54 ans pour aider sa famille restée en Guinée-Bissau à mieux vivre. Retour sur l’histoire d’un long et difficile périple d’émigration commencé à 45 ans.
Luis est arrivé en France à 54 ans pour aider sa famille restée en Guinée-Bissau à mieux vivre. Retour sur l’histoire d’un long et difficile périple d’émigration commencé à 45 ans.
Bilal, 26 ans, réfugié Afghan, a été accueilli dans une résidence sociale à Trappes, au terme d’un long voyage. Récit.
Clara a grandi et étudié à Trappes. Au moment de se lancer dans ses études universitaires, à Paris, elle a connu la dure réalité du compte en banque à sec et des premiers problèmes administratifs à résoudre.
Sarah a interviewé sa maman, Habiba, 50 ans, mère de trois enfants, sur la manière dont elle vit son confinement à Trappes, où elle habite depuis une vingtaine d’années.
Kandia doit passer le permis, pour elle, mais aussi pour permettre à sa famille de pouvoir bénéficier des bienfaits d’une voiture. Et tout cela a un énorme coût, monétaire mais pas seulement.
Nathéa٭, 19 ans, est actuellement en deuxième première année de droit après avoir raté sa première année du fait de son travail dans un Ehpad lors de la première vague du Covid. Elle y travaille encore.
Hédile a interviewé sa maman, âgée de 40 ans mère de trois filles et deux garçons, sur la manière dont elle vit son confinement à Trappes, où elle habite depuis 12 ans.
Natacha a interviewé sa maman, 51 ans, mère de 2 filles, sur la manière dont elle vit son confinement à Elancourt, où elle habite depuis une vingtaine d’années.
Kandia a interviewé sa maman, Kadidia, 37 ans, mère de 4 enfants, sur la manière dont elle vit son confinement à Trappes, où elle habite depuis son arrivée en provenance du Sénégal en 2007. Cette interview a été traduite du Diakhanké.
Sarah a participé à un programme d’accompagnement de jeunes sans emploi ni formation vers une intégration professionnelle et personnelle pleine de promesses et de difficultés. Récit.
Être étudiante en première année de licence après avoir obtenu le bac confinée, tout en ayant un boulot à côté, un permis à payer et des parents qui ne vous laissent pas sortir librement, tout ça constitue une transition compliquée.
A Caen, deux mères et un père d’enfants djihadistes partis de Trappes pour la Syrie et l’Irak sont venus raconter les affres de leurs histoires, passées et présentes, au public du forum pour la paix à Caen.