Babtou rousse ayant grandi à Trappes, j'aime les vieux livres, l'art, le théâtre, la danse, le cinéma. Côté étude : diplômée en reliure-dorure à l’École Estienne, je suis actuellement en licence de Préservation des Biens Culturels à Paris 1. Je m'intéresse beaucoup aux questions de culture, de transmission, d'environnement, d'histoire dans les sociétés. J'aime apprendre des autres de nouvelles choses.
A l’École de musique et de danse de Trappes s’est tenue le 18 mai au soir l’inauguration de l’exposition Trappes Épopées. Les participants ont pu voir quelles œuvres avaient été crées par l’artiste Thierry Payet autour des histoires racontées par les habitants, les élèves de l’école Thorez et leurs parents.
Pour être considéré comme issue de la banlieue, il faut avoir la « gueule de l’emploi ». Du coup, une fille comme moi ça existe partout en France, sauf, faut-il le croire, dans les quartiers prioritaires.
Série de portraits de Trappes par ses habitants. Ils suivent le principe du portrait chinois, et par leur vécu, leurs…
Elena, Corinne, Elodie et Majda, fondatrices du collectif féministe, non-mixte et anti-raciste « Prenez ce Couteau » ont monté une exposition « Des corps, un espace » dont le but est de montrer qu’il existe une création artistique légitime en dehors des cadres officiels.
Depuis un an, Thierry Payet mène le projet Trappes Epopées mettant en valeur les histoires merveilleuses et étonnantes de la ville qu’il découvre en partant à la rencontre des habitants.
Le jeudi 10 novembre, des responsables associatifs et municipaux de Trappes ont été invités à une visite guidée au château de Versailles , suivie d’un concert de musique baroque à la Chapelle Royale.
Série de portraits de Trappes par ses habitants, qui nous livrent des points de vue parfois surprenants, joyeux, attristants, amusants, montrant une réalité toute en nuances.
Pendant trois mois, l’an dernier, j’ai vécu au côté de migrants primo-arrivants à Nîmes. Pendant que j’effectuais un stage, eux essayaient de devenir français. Je me rappelle de mon quotidien auprès d’eux.
Série de portraits de Trappes par ses habitants qui, par leur vécu, leurs souvenirs, nous livrent différents points de vue sur la ville, parfois surprenants, joyeux, attristants, amusants, mais montrant une réalité toute en nuances de gris ; et non celle noire ou blanche que l’on s’imagine souvent.
Ces portraits suivent le principe du portrait chinois, et par leur vécu, leurs souvenirs, les habitants nous livrent différents points de vue sur la ville. Parfois surprenants, joyeux, attristants, amusants, mais souvent touchants, ces points de vue nous montrent une réalité toute en nuances de gris ; et non celle noire ou blanche que l’on s’imagine souvent.